
Remise en cause
Après une bonne semaine d’expérimentation, les résultats obtenus n’étaient pas cohérents. En effet les plantes exposées à de la musique Rock sont de plus grande taille que les plantes des autres lots. Cette observation n’était pas en accord avec nos recherches étant donné que cette musique d’un point de vue physique et scientifique ne présente pas les caractéristiques stimulantes mais bien au contraire, elle avait l’effet inverse. Nous avons donc pris soin de réétudier notre protocole. Une première observation était ainsi faite, nous possédons de nombreuses plantes à feuilles épaisses. Ces feuilles épaisses ne permettent pas le passage total des vibrations dans la cellule de la feuille. Le choix de ces plantes n’était donc pas judicieux d’une part, d’autre part, le choix du temps d’exposition à la musque et le niveau sonore ont été choisis de manière plus ou moins aléatoire. Même si les résultats obtenus avaient été logiques, l’expérience en elle même ne l’aurait pas été. Toutes ces observations nous ont ainsi mené à la mise en place d’un nouveau protocole plus minutieux et qui mettra cette fois -ci le point sur les variables idéales à l’expérience finale. Nous avons de plus constaté que l'hypothèse émise à propos du remplacement de la protéodie de Sternheimer par des musiques classiques et rock est fausse. Nous avons donc décidé de réutiliser la protéodie stimulante de l'Auxine et de tester l'efficacité de la protéodie inhibante que nous avons envisagée.