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Hypothèse de la protéodie inhibante

Nous avons montré que le phénomène de stimulation est expliqué par une théorie simple : Si l'on fait raisonner la mélodie au même moment que la fixation d'un acide aminé se produit sur le ribosome, il serait possible d'accélérer la fixation et donc la synthèse de la protéine suivante.

Par déduction, nous pouvons penser que si la protéide raisonne à l'inverse des fréquences émises par la fixation, la mélodie renversera alors le phénomène en ralentissant la synthèse de la protéine.

Pour avoir une partition qui stimule, il suffirait de reproduire les notes correspondantes à une protéine visible dans le tableau de Sternheimer, dans la catégorie stimulante.

Donc pour obtenir une note qui inhibe, il suffit de se placer sur une portée de clé de sol, de placer les notes stimulantes et d'en prendre la symétrique à l'opposé par rapport à l'axe sol.

Nous avons tenté de réaliser cette protéodie qu'on appellera inhibante.

Cette illustration nous montre que la leucine, l'isoleucine, l'asparagine et l'aspartate sont caractérisés par une même note qui est stimulante et inhibante. La protéodie n'a donc pas d'effet pour ces 4 acides aminés. On peut donc conclure que le bon fonctionnement de la protéodie dépend de la mélodie entière et de toutes les notes qui la composent.

Pour résumer, nous pouvons dire que la protéodie est une mélodie censée stimuler ou inhiber la synthèse d'une protéine en particulier si les notes de musiques qui la composent sont caractéristiques d'acides aminés en particuliers.

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